Qui ignore encore le nom de l’abbé Franz Stock ? Depuis l’ouverture de son procès en béatification, l’aura de ce prêtre catholique allemand, qui fut l’aumônier des prisons françaises sous l’Occupation, ne cesse en effet de croître, jusqu’à piquer la curiosité du monde culturel. Cet homme qu’on surnomma « l’aumônier de l’enfer », lui-même passionné de théâtre et de peinture, a, en effet, tout de l’étoffe d’un héros, mais d’un héros de l’ombre, paré seulement de la soutane de l’humilité ; un de ces acteurs discrets que Dieu réserve aux coulisses de l’Histoire, ou plutôt de l’éternité, qui se consuma d’amour avant de s’éteindre à 43 ans.
Inspiré de son amitié méconnue pour Harry Baur, un des plus grands acteurs français de l’entre-deux-guerres, incarcéré et torturé par les nazis, le nouveau livre d’Alexandre Najjar est un roman de la pesanteur et de la grâce, de la bêtise et de la saine ruse, de la brutalité et de la douceur. On y voit la sainteté en action, toujours prête à mettre les mains dans le cambouis et slalomant en beauté au milieu des champs de mines, mais sans jamais céder à la contagion du mal. Tout est affaire de prière, d’agilité, d’art... Un exercice de haute voltige, en somme, résumé dans cette phrase de feu : « Voici, je vous envoie comme des brebis au milieu des loups. Soyez donc prudents comme les serpents et simples comme les colombes. »
Dans un style sans emphase, Najjar ébauche une silhouette parfaite.
Le 11 mai 2018, nous avons reçu au Séminaire des Barbelés une classe de troisième bilingue allemande du collège privé Notre Dame de Janville 28310
" L'Association musique et culture en Beauce a organisé le dimanche 3 juin un concert avec la chorale Terpsichore en hommage à Maurice Hallé, poète et chansonnier beauceron oublié (1888-1954)
En première mondiale, six œuvres mises en musique par la compositrice , pianiste et harpiste franco-bulgare Youliana Tochkova-Patrouilleau sur des textes de Maurice Hallé ont été interprétés par le Baryton Jean-Mickaël Lucigny et la chorale Terpsichore dirigée par Dominique-Pascal Patrouilleau,
Ce sermon a été prononcé à l’occasion du culte qui a clôturé l’exposition Franz Stock à Berlin (29/04/2018), Pour le lire cliquez ici